Il y en a partout, ils sont plus ou moins drôles, expressifs. Mais c'est une façon de se différencier et ici on n'a pas peur de dire ce qu'on pense des hommes au pouvoir. C'est essentiellement dirigé vers les politiciens, il semble que critiquer (positivement ou négativement) les bonhommes de la maison blanche soit la chose la mieux partagée.
Mais face à cette effusion de stickers politiquement incorrects, on reste confronté à l'apathie quand on souhaite effectivement en parler.
Il est très courant de voir deux voitures porter des stickers "support our troups" sur l'une et "bring them home" sur l'autre, et les conducteurs vont se saluer. Est ce parce que les gens ne veulent pas amalgamer sphère public (politique) et relations interpersonnelles? Il y a une cohésion assez impressionnante et en même temps déconcertante. Les gens sont tous super sympas mais c'est superficiel car les sujets fâcheux sont évités. Attention ce n'est pas une règle que j'énonce ici. Mais mon ressenti de quelques mois.
Moi après les soins de mon experte en maquillage: Kye.
Mon super pote Razi qui connait toutes les assos du campus et me connecte toujours avec la bonne pour mes reportages. Il part en Inde pour deux mois, nooonnnnn!!!
Des "frat-boys" autrement dit Fraternity boys qui pullulent autour du campus. En gros les riches kids de l'état qui viennent faire leurs études à UT et sont tous pareils :même fringues, même démarche, accoutrement, passes temps (boire de la bière, chercher des "surority girls", faire vrombir leurs grosses chevy...)
Et un petit squarel! qui sont très téméraires. Rien à voir avec nos écureuils.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire