Toujours à Roland Garros, par procuration puisque je ne suis pas sur place à suivre les balles, mais au desk, le casque sur les oreilles et l'oeil à l'affût des dépèches. On fait mieux pour savourer du tennis, surtout quand, comme moi, on est complètement en la matière!

En attendant, les matches sont sans arrêts interrompus par la pluie, ce qui, en définitive ne m'arrange pas tant que ça, car parfois, ils reprennent! Jusqu'à tard dans la nuit, s'il le faut.

Je commence mine de rien à comprendre pourquoi on peut s'intéresser à ce sport, que j'ai toujours dédaigné. En fait, ça me donne envie de jouer.